Fiches ancrages

PORTUGAL

La littérature orale portugaise

Dans les trente premières années du XIXème siècle et plus particulièrement à partir de 1820, le Romantisme est marqué par la fascination pour le monde magique du sensible, du populaire et du folklore. C’est aussi une époque où une quête extrémiste des origines et et de l’identité s’installe. Ces positions vont provoquer une collectes importantes des contes, des chansons et tout un matériels folklorique. Un peut  plus tard c’est la période que Jorge Dias appellera la période des maîtres. Ces maîtres ainsi désignés sont : Téofila Braga, Adolfo Coelho, Consiglieri Pedrosso et José Leite de Vasconcelos. C’est à  cette même période que l’on assiste à l’émergence de la science ethnologique qui va permettre un collectage de meilleure qualité.
À cette même époque, se sont les historiens qui, souvent, mènent les enquêtes mais la philologie prend peu à peu sa place. Un prospectus rédigé par José Leite de Vasconcelos pour la promotion de la revue « Révista Lusitane » nous dit :  » Sans la connaissance de la philologie il est impossible d’arriver  à une étude parfaite de la grammaire et par conséquent à la compréhension d’une des facultés de l’homme : le langage. Sans la connaissance de l’ethnologie plusieurs  faits de la littérature et de l’histoire resteraient dans l’ombre et nous serions comme des aveugles, ignorant d’une grande partie de nos caractères et de nos origines ».
En 1927 est fondé la « Révista Portuguesa de filologia »

LÉGENDES

Le coq de Barcelos

La légende du coq de Barcelos raconte l’histoire de l’intervention miraculeuse d’un coq qui prouva l’innocence d’un condamné à mort faussement accusé par ses pairs.  Le “Galo de Barcelos” est devenu par la suite le symbole de la ville de Barcelos et est considéré aujourd’hui comme l’un des emblèmes les plus typiques du Portugal. Barcelos est un ville située à quelques 30 kilomètres de Braga (LIRE).